Lancement de l'observatoire central de mesure des précipitations globales
L'Organisation Météorologique Mondiale se félicite de la réussite du lancement de l'observatoire central de mesure des précipitations globales (GPM), une mission conjointe d'observation de la Terre entre la NASA et l'Agence japonaise d'exploration aérospatiale (JAXA).
L'observatoire dressera la toute première cartographie globale intégrée des précipitations couvrant les cercles de l'Antarctique et de l'Arctique. Il fera progresser notre compréhension du cycle global de l'eau et de l'énergie et améliorera notre connaissance du système climatique.
Le satellite de quatre tonnes a été lancé dans l'espace depuis le Japon le vendredi 28 février au matin. Il cartographiera les précipitations mondiales toutes les trois heures et les informations recueillies consolideront et optimiseront les données d'une constellation internationale de satellites existants et futurs.
L'observatoire dressera la toute première cartographie globale intégrée des précipitations couvrant les cercles de l'Antarctique et de l'Arctique. Il fera progresser notre compréhension du cycle global de l'eau et de l'énergie et améliorera notre connaissance du système climatique.
Le satellite de quatre tonnes a été lancé dans l'espace depuis le Japon le vendredi 28 février au matin. Il cartographiera les précipitations mondiales toutes les trois heures et les informations recueillies consolideront et optimiseront les données d'une constellation internationale de satellites existants et futurs.
Ce nouvel observatoire apportera une précieuse contribution au système mondial d'observation par satellite qui servira à différents domaines d'application tels que la météorologie agricole, l'hydrologie et l'observation du climat. Il fournira également de nouvelles perspectives pour la recherche sur la formation des précipitations, le cycle hydrologique, le changement climatique et la variabilité du climat. Ses données permettront d'améliorer les prévisions de l'intensité des cyclones tropicaux et des phénomènes extrêmes. Il permettra également de renforcer la gestion des ressources en eau et la sécurité alimentaire.
Un site internet a été mis en ligne et suivra désormais les activités de cet observatoire.
